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LE LIVRE D'OR
Rouleau 1, Chapitre 1er.
C'est dans une taverne que commence cette longue et dure histoire,
j'ai reçu ce livre pour mes 6 ans, depuis je décris toute les aventures et les
personnes que je rencontre dans ce cahier jaune, il est déjà bien abîmé,
l'histoire commence à la 300 e page, je pense que cet histoire est bien plus
intéressante à ce niveau là.
Nous sommes en France au XXe siècle, en 1965 précisément, la taverne
est rosé par l'après-midi de ce 12 Juin, et un homme au cheveux déjà gris et au
teint déjà pâle et barbu est accoudé au bar, un autre homme, plus jeune est
assis à ces côtés, il commence à parler:
" Lucas! Soyez raisonnable! Nous avons un rendez-vous sacre bleu!
- Miller, calme-toi, la République peu attendre encore un autre de mes miracle
le temps que je finisse un bourgogne de 10 ans d'âge, non? Rétorqua l'autre
en soupirant calmement
- Mr Brilem et Mr Tormero n'attendent pas!! Dit le jeunot en costard noir et rouge.
-..."
Ils furent coupé par un vacarme venant de l'extérieur, des motards venais
d'insulter la jeune serveuse qui venais d'y rétorquer par une claque:
"Qu'est-ce que tu fait ma joli, lui dit l'un des leurs en lui tenant violemment le
bras"
Lucas se leva et marcha vers l'extérieur, il se mis devant la porte et leurs demandât:
"Lanna arrête ta comédie, rend leur l'argent.
-Bon D'accord tu a gagné! Dit elle tout en donnant un coup de plateau en métal
dans le ventre de son agresseur suivis d'un coup de pied dans ses attributs
et un autre a sa joue le faisant tombé.Je te les laissent Lucas, alors la fille fit
un léger sourire et ses cheveux avaient soudainement pris une couleurs d'un orange
saumon
-... Peste! Bon... Miller! On va prendre 30 seconde de plus! Prépare la voiture!"
Alors les hommes foncèrent sur Lucas, qui lui même profitât de ce tas pour se
fondre dans la masse et de lâcher un léger: "Alors les gars on suis plus?"
Ceux-ci en colère donnèrent des coups de poing vers le centre du groupe ou
Lucas s'abaissât, pour que coup de poing fusent entre les motards.
Il enchaîna avec différent coup de pied au sol puis bondit d'épaule en épaule
avant de frapper délicatement dans chaque motards en courant dans la masse,
les motards ne le distinguais pas, mal grès son costume gris, une fois tout les
motards à terre il ne pus s'empêcher d’esquisser un léger sourire, avant de
monter dans la voiture sous les applaudissements des passants.
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